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Partenariat : quand tout va mal
2021, Monique et Rémi s'associent pour acheter un 6-plex à Montréal. Deux ans plus tard, Monique décide de vendre ses parts. Elle trouve un acheteur, Hippolyte, rencontré lors d'une soirée mensuel. Hippolyte propose un bon prix, et Monique accepte. Soudain, Rémi se retrouve avec un partenaire inconnu dans son projet.
Comment Rémi aurait-elle pu éviter cette situation ?
La solution est simple : une clause de “Droit de premier refus” dans la convention d’actionnaires ou même un accord entre particuliers. Avec cette clause, Rémi aurait dû être la première à qui Monique propose ses parts. Il aurait eu le contrôle sur qui entre dans le projet.
Et si Rémi n'a pas les fonds immédiatement ?
Pas de problème. La convention peut prévoir des modalités de paiement échelonné. Par exemple, si les parts coûtent :
Entre 0 et 100K, Rémi peut payer en deux versements : un à 3 mois, l'autre à 6 mois.
Entre 100K et 300K, en trois versements : à 3, 6 et 9 mois.
Entre 300K et 500K, en quatre versements : à 3, 6, 9 et 12 mois.
Cela donne à Rémi le temps de rassembler les fonds nécessaires pour racheter les parts de Monique sans stress financier immédiat.
En résumé :
Avec une clause de Droit de Premier Refus, Rémi aurait eu la première option d'achat, lui permettant de garder le contrôle sur son investissement et d'éviter de se retrouver avec un partenaire inconnu.
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